
Près de 2,5 milliards de personnes dépendent de terres autochtones et communautaires représentant plus de la moitié des terres de la planète. Elles n'en détiennent pourtant légalement qu'un cinquième.
Les 5 milliards d'hectares restants ne sont pas protégés et sont donc exposés à l'accaparement des terres par des entités plus puissantes, telles que les États et les grandes entreprises.
Propriété foncière est essentielle
Il apparaît de plus en plus clairement : la propriété foncière de plein droit des peuples autochtones et communautés locales joue un rôle essentiel pour préserver la diversité culturelle et lutter contre la pauvreté et la faim, l'instabilité politique et le changement climatique.
L'accord de Paris sur le climat et les objectifs de développement durable
La protection et du développement de la propriété foncière des communautés et des populations autochtones fut un élément essentiel des négociations sur les objectifs de développement durable et l'Accord de Paris sur le changement climatique. Elle est cruciale pour la réussite de leur mise en œuvre.
Ce rapport est une publication commune de 3 organisations:
